Autrefois l'écho
des prairies marines
Ne les devine
aucune carte
Ne les contient
aucun rêve
non la fin d'un monde
éclairé
dans l'apologie des falaises
le vol tumultueux de ses sternes
Heures profuses
aux accents de cannelle
de palissandre
tels s'élèvent
ses feux de maraude
ses pavillons tous frappés
d'insomnie
l'obscure la vive
mille noms pour ses
terres frondeuses
son chiffre d'équinoxe
sa liqueur d'armoise mise à vieillir
dans le jabot des frégates
odyssée de cela du grain des partances
bien visibles sous l'arche
de la soif
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