Poésie vivante
en vos lieux d'oubli
ivre d'images
dans la double dépendance
des brèches
Savoir où se trame
l'indicible
s'établissent les approches
du moindre mot
Volupté du minéral
ténuité
pour celle qui vient
à pas légers
s'abolir
dans la rumeur du songe
Mille pas que nous ne ferons
qu'errants
à l'aplomb des pôles
Passée l'ombre petite
des aveux
je te laisse ma voix
encombrée de de frayeurs
Remonte avec la pluie
le visage de l'attente
mi-dieu
mi-homme
sous l'heure bleue
des adoubements
Ainsi l'attente
le souffle crayeux de la mer
de la nuit de ses hanches
naissent encres et paysages
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